Vous ne me connaissez pas ? Laissez-moi me présenter à vous et vous expliquer pourquoi je suis candidat pour les élections fédérales du 9 juin prochain ! Et surtout, pourquoi je pense que vous devriez voter pour moi.
Qui suis-je ?
”Je ne me prédestinais pas à la politique. Rien dans mon environnement familial ne m’y prédestinait. C’est la volonté de faire bouger les choses, d’avoir de l’impact et de vouloir réformer qui a motivé mon engagement. Car rester les bras croisés ne sert à rien. J’avais envie d’agir.
Je m’appelle Jolan Vereecke, né à Mons le 15 mai 1990. Fils et petit-fils d’agriculteur, fier de mon terroir, de mes racines et de ma ville de Chimay, je suis Avocat, Conseiller Spécial du Président du Mouvement Réformateur Georges-Louis Bouchez et assistant en droit européen à la Faculté de droit de la KU Leuven. J’ai travaillé dans le cabinet d’avocats international spécialisé en droit des affaires Allen & Overy LLP où je conseillais régulièrement des clients internationaux. Auparavant expert auprès du Ministre wallon des Aéroports et responsable de la stratégie pour les aéroports wallons de Liège et Charleroi, je suis maintenant membre du conseil d’administration de l’aéroport de Bruxelles. J’ai également été Coordinateur de la Task Force Brexit du Gouvernement Fédération Wallonie-Bruxelles et je fais partie de la direction de Reshape Legal, une organisation qui promeut une plus grande efficacité dans le système judiciaire et le monde juridique grâce à la technologie.
Je suis titulaire d’un baccalauréat en droit de l’Université de Namur, d’un master de l’Université de Gand et d’un LL.M. (Master of laws) de l’Université de Georgetown, Washington D.C. où j’ai rencontré la femme de ma vie, Marta.
Le cœur de mon engagement, c’est la valeur travail. Il nous faut remettre cette valeur travail au centre pour que les gens puissent prendre leur vie en main.
C’est un fait malheureux mais aujourd’hui, en Belgique francophone, que ce soit en Wallonie ou à Bruxelles, trop peu de gens travaillent. Il nous faut davantage de personnes au travail pour renforcer la solidarité. Travailler, c’est ouvrir la possibilité pour chacun de choisir librement sa voie, sa vie et de se bâtir un destin. Il nous faut à nouveau valoriser l’envie de faire, l’esprit d’entreprendre, mieux récompenser l’effort là où l’assistanat enferme.
Travailler doit toujours rapporter plus que ne pas travailler. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas. Pour résoudre ce problème, il faut avant tout baisser les impôts et faire en sorte qu’il y ait toujours une différence d’au moins 500 € nets par mois entre les revenus du travail et les allocations sociales. Les belges paient trop d’impôts, notre fiscalité n’encourage pas le travail. Personne ne devrait avoir à donner plus de 50% des revenus de son travail à l’Etat. Augmenter la différence entre le salaire et les allocations est une priorité. Cela ne devrait JAMAIS être plus intéressant de ne pas travailler. Il nous faut également limiter les allocations de chômage dans le temps. Nous sommes l’un des seuls pays à ne pas le faire.
Enfin, notre politique pénale est trop laxiste. La criminalité augmente mais certaines personnes sont relâchées beaucoup trop rapidement de prison. Nous devons faire en sorte que les punitions soient à la hauteur et que les peines prononcées soient réellement exécutés. C’est de cette manière que nous restaurerons l’autorité de l’Etat partout où elle est contestée et la confiance entre le citoyen et le politique.
Remettre la compétence, le parler-vrai et l’action au cœur de nos politiques.
C’est pour cela que je m’engage.
Pour vous.
Il est minuit moins une.
Agissons.
Jolan Vereecke